La chasse aux sorcières
Affrontant le froid, je suis allée au cinéma voir le dernier film de et avec George Clooney, "Good night and good luck".
La première raison de ce choix, je l'avoue, c'était pour me lécher les babines devant la belle gueule de George (il n'est pas malheureusement pas à son avantage dans ce film avec ses grosses lunettes mouches et le petit bidou qu'il a pris!). Et puis surtout j'avais beaucoup aimé son premier film "Confessions d'un homme dangereux". La seconde raison, c'est que le sujet m'intéressait car il s'agit d'un film dont les événements se sont réellement déroulés aux Etats-Unis pendant les années 50 et le MacCarthysme. Et enfin j'aime beaucoup les films tournés en noir et blanc : ça me rend encore plus sensible aux images car l’œil n'accroche pas sur un pull bien vert ou un ciel bien bleu; etc.
Bref, je ne suis pas là pour vous résumer ce film car vous êtes suffisamment grand pour trouver ces informations sur le net. Pour ceux qui ont la flemme de chercher ce film présente la pression permanente qu'ont subi les media et principalement les journalistes à l'époque où les communistes étaient chassés des Etats-Unis; la liberté d'expression est le maître-mot de ce film. Ce film est accompagné de très bons acteurs dont David Strathairn et Robert Downey Jr. et d'une superbe VO toute de jazz.
La censure était déjà bien présente à cette époque mais elle est toujours d'actualité comme le témoigne aussi le documentaire de Sabine Guzzanti, Viva Zapatero sur le contrôle des media en Italie par Berlusconi.
De toute façon, il suffit de jeter un coup d’œil aux journaux télévisés français par exemple pour se rendre compte que la censure est aussi présente d'une certaine manière car on ne sait pas nous montrer beaucoup d'autres choses que les faits d'hiver, mamie Gérard est tombée sur le verglas ou alors l'arrivée de la galette des rois dans les foyers.... Ah j'vous jure!
La première raison de ce choix, je l'avoue, c'était pour me lécher les babines devant la belle gueule de George (il n'est pas malheureusement pas à son avantage dans ce film avec ses grosses lunettes mouches et le petit bidou qu'il a pris!). Et puis surtout j'avais beaucoup aimé son premier film "Confessions d'un homme dangereux". La seconde raison, c'est que le sujet m'intéressait car il s'agit d'un film dont les événements se sont réellement déroulés aux Etats-Unis pendant les années 50 et le MacCarthysme. Et enfin j'aime beaucoup les films tournés en noir et blanc : ça me rend encore plus sensible aux images car l’œil n'accroche pas sur un pull bien vert ou un ciel bien bleu; etc.
Bref, je ne suis pas là pour vous résumer ce film car vous êtes suffisamment grand pour trouver ces informations sur le net. Pour ceux qui ont la flemme de chercher ce film présente la pression permanente qu'ont subi les media et principalement les journalistes à l'époque où les communistes étaient chassés des Etats-Unis; la liberté d'expression est le maître-mot de ce film. Ce film est accompagné de très bons acteurs dont David Strathairn et Robert Downey Jr. et d'une superbe VO toute de jazz.
La censure était déjà bien présente à cette époque mais elle est toujours d'actualité comme le témoigne aussi le documentaire de Sabine Guzzanti, Viva Zapatero sur le contrôle des media en Italie par Berlusconi.
De toute façon, il suffit de jeter un coup d’œil aux journaux télévisés français par exemple pour se rendre compte que la censure est aussi présente d'une certaine manière car on ne sait pas nous montrer beaucoup d'autres choses que les faits d'hiver, mamie Gérard est tombée sur le verglas ou alors l'arrivée de la galette des rois dans les foyers.... Ah j'vous jure!
cogité par Amande à 6:41 PM
5 Comments:
Intéressant Amande cette chronique sur la censure. J'irai peut-être voir ce film avec George. Ah sinon, on écrit "fait divers" même en été ;-)
euh... "faitS divers"
Ouppsssssss bon je pourrais dire, cher Anonyme, que je faisais un stupide jeu de mots mais j'avoue que là je me suis mélangée les pinceaux :) Merci
sympa ce blog...
"Good night, and good luck", "Viva zapatero"... La pression politique existe... c'est une réalité permante... en france aussi. Connais tu "Pas vu, pas pris !" ? Un documentaire qui avait été refusé à la diffusion par canal+, qui devait le diffuser lors d'une carte blanche... au final passé au ciné.
Ton post sur ton retour en france : fort intéressant à lire... me dépite encore plus sur le système administratif Français, qui ne va pas en s'améliorant !
Longue vie à ton blog et bon courage pour "ta réinsertion" Française... ;)
Merci cher Anonyme pour ton soutien. J'avais effectivement vu au cinéma, à la fin des années 90 si je me souviens bien, ce fameux documentaire "Pas vu, pas pris". La situation n'a guère changé depuis...
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